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12 Commentaires

  1. Vite, un enrichissement culturel pour la sale gauchiste!
    Dans une cave, dans un parc, dans une ruelle, peu importe. L’important c’est l’expérience de la vie.

  2. Dans le temps les putes écartaient les fesses, maintenant elles ouvrent leurs gueules! Retourne au bois de Boulogne avec tes soeurs brésiliennes et lache nous la grappe !

  3. Elle se prends pour qui cette donneuse de leçons,on n’est pas obligé d’être d’accord avec toutes les couleuvres qu’on veut nous faire avaler,

  4. Elle s’est peut-être fait démonter la plomberie pour être aussi attachée à la GPA pour les trans et le reste. C’est peut-être un ancien monsieur ? Le monde est mal fait: certains se font ôter les tuyaux et les boules, alors que celle qui fait le mari dans le couple est obligée d’acheter des godes.

  5. a plupart des lois que font voter les aristos de la politique, depuis le 10 mai 1981, n’ont pas pour but un bon fonctionnement de la société par la promotion du travail, la protection des familles, la prospérité générale, l’amour de la vérité et de l’honnêteté ! Non, non ! ces innombrables nouvelles lois sont calculées pour de tout autres raisons : la principale étant de CRIMINALISER toute une série de libertés dont on jouissait paisiblement jusqu’en 1981.

    exemples :

    1) la liberté d’expression. Elle était encore très importante en 1960.Elle est aujourd’hui moribonde et c’est devenu si hypocrite que trop peu de gens en ont conscience

    2) la légitime défense. Elle était très importante jusqu’en 1970. A partir de 1972, elle s’est peu à peu érodée, mais restait encore efficace à 80 %. Aujourd’hui, elle est moribonde. Très souvent, la seule solution est de se faire justice soi-même, si on peut. Et on peut peu….

    3) le droit de déposer une plainte qui sera instruite correctement.
    Aujourd’hui, terminé ! il faut être bien plus riche qu’un cadre, même supérieur, pour y arriver. La plupart des plaintes vont au panier et sont classées sans suite. On n’a pas plus de juges d’instruction que sous
    Louis-Philippe (on a 700 erreurs judiciaires par an, en moyenne). Si vous vous portez partie civile, on va vous matraquer avec la “caution” : ce qui va vous dissuader, sinon, vous en aurez pour 6 à 10 ans, ou pour jamais. Seules des personnes vraiment très riches y parviennent.

    4) le droit à diffuser des informations prouvées. Par exemple, les pseudo-“raisonnements” pour interdire de nommer des assassins ou grands criminels (cf MLP poursuivie pour avoir diffusé une vidéo d’égorgement). L’exécutif cache à volonté. Aucun journaliste n’est plus libre. Internet depuis 2017, est purgé d’infos très sensibles qu’on pouvait visionner sans pb avant 2017.

    5) le droit de construire CHEZ SOI. On est punis même pour UN mètre carré en trop ! des hélicos vous surveillent en permanence.

    6) le droit de vendre et acheter EN ESPÈCES. Il n’en reste presque plus rien. En 1982 encore, j’ai eu connaissance, par un ami, d’une transaction pardevant notaire payée en espèces pour 4 millions de francs !

    J’arrête mais la liste est longue. Résultat : en France, TOUT LE MONDE A PEUR.

    • Totalement d’accord avec tout ce que vous dites ici.
      J’ai eu 20 ans en mai 68, à l’époque du “il est interdit d’interdire”.
      Que de chemin parcouru depuis vers tous ces “interdit de” qui ne disent pas leur nom.
      On a largement instauré des “permis de” qui induisent de fait une interdiction de faire à tous ceux qui n’ont pas ce fameux “permis de”.
      Je n’arrive même pas à faire le bilan de toutes les petites et grandes libertés que j’ai perdues depuis l’âge de mes 20 ans : libertés d’action, libertés de parole, et même libertés de pensée, pour peu que vous pensiez mal.
      C’est effrayant.
      Et dire que la devise de la sacro-sainte République, inscrite dans la constitution, commence par “Liberté” (égalité, choucroute). C’est à vomir !
      Il faut vraiment, vraiment faire une révolution.

  6. Tiens.tiens v’là de la putasse.premiere au box Office de la décadence.cette nana ce n’est pasle best off, mais le greatest hit de la médiocrité.