Député agressé en Allemagne, les boboches en émoi

Une pourriture social-démocrate élue député européen allemand a pris une raclée en pleine rue, et les boboches sont en émoi. Même le chancelier Olaf Scholz s’y met, disant que les attaques contre les élus «menaçaient» la démocratie.

Eh bien non, Olaf! Ce sont les élus eux-mêmes qui non seulement menacent mais aussi tuent la démocratie en votant des lois contraires aux intérêts et à la volonté du peuple. Rassure-toi Olaf c’est pas seulement chez toi, chez nous aussi en francarabia c’est comme ça!

Il faut souhaiter et tout faire, TOUT faire, pour que les attaques de ce genre se multiplient et soient de plus en plus violentes. Que l’on trouve de ces racailles pendues sous les ponts ou aux réverbères.

Ce ne sera que Justice, la Justice populaire, et ce jour n’est pas loin!

 

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera publié apres contrôle.



9 Commentaires

  1. Les élus se plaignent d’attaques alors qu’ils ont signé pour ca, ils ne parlent pas de leurs attaques contre le peuple qui a la base, les a élu pour les protéger.
    C’est un vaste foutage de gueule.

  2. Je suis d’accord avec vous CONDOR ; Dès qu’il y en a un qui déborde ,il faut lui foutre une bonne branlée . Nous devrions commencer par Foutriquet 1er le paltoquet de l’élysée . VOX POPULI ………

  3. La plaque de couche de KaR 98 en emplâtre facial ce traitement est radical contre le teuton testé par notre grand oncle à Stuttgart c était un précurseur du circuit court

  4. Si Olaf Scholz, plus connu en Allemagne sous le sobriquet Leberwurst, le dit, c’est qu’il craint la rouste. Les Allemands deviennent vite violent. Une bonne tartine pour étaler la saucisse de foie… Maintenant nous avons en France une tache qui se prend pour la République, pourquoi les Allemands n’aurait-il pas une saucisse qui se prendrait pour la Démocratie?

  5. A force d’ignorer la volonté populaire, la violence deviendra le seul moyen de se faire entendre. A commencer par tous ces parlementaires devenus des traîtres potentiels au pays et à l’électorat qui les a mis en place.