Pepy : la pétite pour couler une boite

La tarlouze Guillaume Pepy, qui fut l’amant du défunt dégénéré cocaïnomane Descoing ( patron de Science pot de Chambre) mort héroïquement lors d’un gang bang homo à New York, après avoir coulé la Sncf durant dix ans serait pressenti pour être nommé patron d’Air France.

En Francarabia c’est la promo au mérite, plus t’es un tocard plus t’as des chances d’avancer.

Au moins il finira le travail de la Parly, actuelle potiche à la défense, qui a liquidé Air France Cargo, ce qui est une performance car c’était  l’activité la plus rentable à l’époque du groupe.

Pepy remplit toutes les conditions. C’est une socialope, il a été directeur de cabinet de la grosse Aubry lors des 35 heures, c’est un adepte du pédalo, le pédalo c’est très bon pour l’avancement dans le corps et surtout un énarque…

Comme disait Coluche, mettez un énarque dans le désert il finira par importer du sable.

Quelle a été la gestion de ce clown à la tête de la Sncf ? Acheter la paix sociale, du coup tout le pognon a été consacré aux promotions des permanents branleurs syndicaux à des postes de responsabilités où ils ne foutent rien et à acheter les élus corrompus locaux en ouvrant des gares TGV dans des endroits ravitaillés par les corbeaux.

C’est vrai qu’il y a eu beaucoup moins de grève qu’à une époque, sauf que le service est désastreux. Forcément quand on dépense dans les foutaises, le clientèlisme,  il ne reste plus rien pour l’activité quotidienne de la boite.

Avant la Sncf avait un point d’honneur de faire partir et arriver les trains à la seconde, avec Pepy c’est au Pépif.

Ce crétin est possiblement patron d’Air France, avec lui les avions décolleront-ils ? A la réflexion il vaut mieux pas, un train qui tombe en panne c’est pas grave, c’est emmerdant, un avion en plein ciel par contre…

Heureusement il y a Emmanullo Macron qui gère.

( Chut : il parait qu’il est membre du pédaloclub )

XR

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10 Commentaires

  1. Le chemin de fer est d’abord et avant tout un problème technique, d’ingénieur. Dans l’ancien temps, les jeunes “attachés” débutaient leur carrière à la chauffe sur les machines à vapeur à coup de pieds dans le cul. Ce type né à Neuilly, élevé au biberon élitiste du privé, probablement nul en maths, ne pouvait que se planter. Un truc marrant serait de ramasser les cadres du corps de ballet de la direction générale et de les coller à la conduite avec des conducteurs Sud Rail hétérosexuels à moustache de préférence. Au bout de six heures de TGV, seul au manche avec 1200 personnes à bord, découché dans la crasse et lever à quatre heure du matin, t’as une bonne idée du métier. On risque de rigoler dans les postes d’aiguillage. Le joli Guillaume en a sorti une bonne “Je n’aime pas le chemin de fer”. Après on s’étonne. Il a multiplié les emplois fictifs qui n’existeraient pas si les trains partaient à l’heure avec des voyageurs un peu disciplinés munis de billets : gilets rouges, ramassage des déchets à bord des TGV (il n’y a pas de poubelles…), armées de vigiles et d’agents de quai, plusieurs contrôleurs dans un même train etc…
    La Florence Parly est pas mieux : 46 milliards de pertes (de mémoire) du temps de son passage à la SNCF. Et cette championne est ministre des armées.

  2. Macron c’était la jeunesse, la nouveauté qu’ils disaient mais sans changement. Cela, ses supporters ne l’ont pas dit, mais l’avaient ils seulement compris ?

    Il n’y a finalement que dans le cercle très restreint des entreprises publiques ou semi privatisées où l’on nomme encore des énarques PDG, ailleurs depuis que Messier a coulé Vivendi Universal personne n’en veut plus. Une des raisons est probablement à chercher dans le profil de ses personnalités, certes intelligentes mais hélas aussi conformistes, car sélectionnées et formées pour gérer docilement des administrations en obéissant aux ordres.

    Si cette qualité permet de mener une belle carrière de serviteur de l’état, elle devient un handicap pour un capitaine d’industrie et aussi un chef d’Etat, un ministre ou un quelconque élu d’ailleurs.

    Le rôle d’un décideur n’est pas seulement d’administrer mais bien d’être capable d’analyser les situations, anticiper, élaborer des stratégies, les mettre en application en bousculant les habitudes pour fournir le même service avec des coûts de fonctionnement moindre grâce à des fonctionnaires toujours plus productifs et moins nombreux.

    Désirer aligner l’efficacité du service publique et la productivité de ses agents sur celles du privé suscitera l’indignation de nombreux lecteurs de ce commentaire oublieux qu’un fonctionnaire est un agent économique comme un autre.

    A défaut d’accepter cette réalité, la France n’est pas assez compétitive non pas parce que les entreprises ne le sont pas mais parce que l’état ne l’est plus et s’évertue même à conserver son esprit maison archaïque ainsi qu’une organisation anachronique engloutissant toujours plus de moyens financiers et humains pour des résultats en dégradation constante. L’état maintient même des services vestiges d’un autre temps ou en doublon avec les collectivités territoriales.

    Infantilisés par cette matrice rassurante qui les a bercé d’aspirations mégalomanes et façonné à sa guise, les français attendent tout de la providence étatique, réceptacle universel de toutes leurs plaintes et prières, dont l’action se doit de se substituer aux leurs pour assurer ce bien être qu’ils estiment leur être dû. Ainsi ils délèguent à l’énarchie, élite administrative de l’état nounou, la responsabilité de les prendre en charge de A à Z, de la naissance à la mort. Ce faisant, ils donnent à cette caste un pouvoir délirant sur leur vie, leur avenir personnel et collectif en tant que peuple. Ils acceptent docilement que la pieuvre énarchique s’empare de tous les leviers de pouvoir tant administratifs qu’électifs et prennent toute décision pour leur bien.

    Dans ces conditions, ni le coût du service publique ni la compétence de ces super nounous n’ont plus d’importance, de sorte que l’on peut légitimement se demander qui est ce qui peut bien s’intéresser à la possible nomination de Peppy à la tête d’Air France à part quelques pisse vinaigre ? Ses compères oeuvrent à la faillite de l’état républicain avec l’assentiment des français, qu’est ce qui vous laisse supposer qu’ils ne sont pas ravi de voir l’énarque Peppy faire de même pour Air France ? Conserver une compagnie nationale dans un pays sans frontière, sans peuple, sans culture… n’est ce pas faire un terrible affront au citoyen de cette république universelle ?

  3. Quel regard pétillant d’étonnement chez la pépite hot-dog!
    Regardez bien! Je vous fiche mon billet qu’il n’y a pas qu’une saucisse dans le hot-dog!
    J’ai ouï dire qu’à son anniversaire il aimait le sandwich! Même que la p’tite crotte macron en était tout barbouiilé!
    C’est beau le partage!

    • Lol.Comme le martelait si bien le slogan au chapeau mexicain pour la rondelle de biscuit au chocolat: Aie pépito…aie aie aie.
      Montagneuh montagneuh…. tralalala tralalala….
      Mdr

      • “Un mec si con (mexicain) basanéééé est allongé sous macrooote, un petit gland sur le neeez, en guise en guise, en guiiise de vache folle! Ouille!