Attentats ; Les cathos ont le sphincter dilaté

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» Les catholiques aiguisent les couteaux qui vont servir à les égorger »

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7 Commentaires

  1. Une partie significative du clergé trahit en ce moment le dogme catholique en tentant de faire croire à un syncrétisme possible entre islam et christianisme. Des évêques, avec à leur suite de nombreux prêtres, passent ainsi de Dieu à Baal sans peut être vraiment réaliser ce qu’ils font, entrainant derrière eux le troupeau bêlant.

    Toutefois, il reste des prêtres courageux qui défendent encore la Foi Catholique.

    • c’est exactement cela. Et le fait de vouloir enfermer les croyants de manière systèmatique donne raison et aux FM et aux muslims.

      L’ignorance de ce qui fait l’homme, fait de l’homme un objet ou une bête, la tendance ces temps ci serait de faire les deux en même temps.

  2. Mais pourquoi 90% des individus ont besoin de CROIRE à des fariboles non prouvées, qui guident complètement leurs attitudes et modèlent leurs opinions. Vous raconteriez les débilités que véhiculent les religions, effectivement vous seriez lourdement traité pour psychose délirante ou schizophrénie. Mais s’agissant d’une religion, toutes les inventions farfelues sont acceptées et respectées. Connaissez vous une institution autre qu’une religion pour faire mettre les gens le cul en l’air sur un tapis 4 fois par jour, ou écouter une petite sonnette, allumer des bougies et se mettre à genoux selon des codes parfaitement réglés ?. L’existence des religions démontre la connerie sidérale de la race humaine, encore au paléolithique et qui se croit avancée.

  3. Votre titre va rentrer dans les an(n)ales … Cependant à ce niveau de soumission, on ne parle plus de sphincter, mais de bouche de métro … Ces risibles larves ont néanmoins des circonstances atténuantes, comme tout adeptes d’une religion, quelle qu’elle soit, ils sont atteints de troubles mentaux plus ou moins aggravés selon les cas et ne sont par conséquent pas en possession de toutes leurs facultés mentales, (si cela ne tenait qu’à moi, j’aurais mis depuis belle lurette tous ces ramassis de timbrés sous camisole, en chambre capitonnée et avec un traitement lourd adapté à leurs cas).