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13 Commentaires

  1. Pardon d’intervenir encore une fois sur cette affaire de notre curé enragé. Mais je tiens à bien décrire l’ambiance qui découlait alors tout droit de notre Troisième République.

    J’ai parlé des colonies de vacances merveilleuses où j’ai séjourné chaque été pendant quatre ans un moins plein, en pleine nature entre 1500 et 1800 m selon les années, en plein dans nos Pyrénées (je dis bien ”NOS” Pyrénées). Elles étaient tenues par des curés de l’époque, et j’ai dit ce que j’avais à dire sur leur comportement. Mais je tiens à apporter une précision fondamentale qui montrera combien l’institution catholique a été trahie, détruite, pervertie, retournée à 180 degrés depuis cette époque.
    Chaque matin, on avait droit à la messe, que le curé disait sobrement dans une sorte de grotte formée par les feuillages des beaux frênes qui poussaient encore à ‘l’altitude où était installé notre camp. Depuis l’intérieur de cette sorte de grotte, on voyait la nature par une grande arche formée par ce feuillage côté sud. Moi qui ne m’intéressais pas du tout à la messe, je rêvassais en regardant ce magnifique tableau, le salon naturel où se disait la messe et la vue sur le grand soleil qui commençait à inonder cette puissante nature.

    Mais AVANT d’assister à cette messe, chaque matin avait lieu une cérémonie qui m’a profondément marqué, et qui, elle, me touchait au fond du coeur, car j’avais conscience des terribles épreuves subies par notre France depuis 1870 (ma grand-mère paternelle avait connu le siège de Paris en 1870 et m’avait raconté quelques anecdotes terrifiantes, par exemple que les parisiens avaient été obligés de manger des rats).

    Cette cérémonie toute simple était le LEVER DES COULEURS. On devait se tenir debout, en rangs bien alignés ; le drapeau français en berne attendait, au bas d’un grand mât planté là par notre colonie dès le premier jour. Le curé nous commandait de rester debout et d’observer une minute de silence, tous tête nue, et en regardant bien le mât. Le curé demandait à l’unique moniteur, un ”grand” qui pouvait avoir entre 18 et 20 ans, de ”monter les couleurs”. un système de poulie au sommet du mât avec retour de la corde à son pied permettait de hisser le drapeau français jusqu’au sommet du mât. La minute de silence était rigoureusement observée par tout le monde. Quand elle se terminait, le drapeau français flottait fièrement depuis au moins 20 ou 30 secondes au sommet du mât ; il flottait dans ce cadre splendide, tranquillement, sous le grand soleil de la haute montagne. Je me souviens combien chaque fois, j’étais ému.

    Ce ”lever des couleurs” à la fois simple et grandiose passait AVANT la messe. C’était aussi ça, les curés de cette époque-là. Quand je constate aujourd’hui, tant d’années après, combien ces scènes m’ont marqué, je comprends que tout se joue, pour la patrie, avant douze ans. Et j’en déduis que ceux qui ont fait de l’éducation nationale une inéducation anationale sont des criminels. Ce sont eux qui ont tué notre France et sont en train de la livrer à ses ennemis.

  2. Je remercie les lecteurs qui se sont intéressés à cette affaire et je leur dis que comme eux, je tiens à notre curé enragé. Je n’ai choisi de rendre ce recadrage public que pour bien montrer que RL n’est pas à classer dans les racistes au front bas et aux cheveux courts, et que par conséquent, les critiques acerbes que l’on trouve ici sont dues à une situation insupportable causée par cette absurde politique de l’immigration, qui finit par désespérer une majorité de gens honorables, la plupart parfaitement instruits et qui ne s’expriment vertement parce que trop c’est trop et qu’ils n’en peuvent plus., que le peuple français n’en peut plus.
    D’autre part, je suis 100 % avec les lecteurs qui clament leur attachement aux interventions de notre cher curé enragé. J’ai été très clair à ce sujet.

  3. J’ai bien aimé : le blanc est supérieur au nègre qui lui même est supérieur au singe qui lui même est supérieur aux huitres………

  4. Concernant les juifs, ils sont détestés et chassés depuis toujours. Ce n’est certainement pas sans causes. Ils arrivent aujourd’hui à manipuler le monde entier parce que nous les laissons faire. Leur grande réussite a été la création du christianisme pour nous culpabiliser, nous affaiblir, et assurer leur autorité sur les blancs européens. Maintenant, ils utilisent les muzz pour finir le travail. Les penseurs du 18eme siècle seraient tous condamnés dans notre dictature talmudique de notre temps pour des propos aussi justes soient-ils.

    • A Celticus :

      CITATION :

      Leur grande réussite a été la création du christianisme pour nous culpabiliser, nous affaiblir, et assurer leur autorité

      COMMENTAIRE :

      Cette phrase, découpée de votre texte à des endroits précis choisis après mûre réflexion, pose plusieurs problèmes bien distincts, tous très ardus.

      1) ”Leur réussite” : qui est le sujet du possessif ”leur” ? vous ne le nommez pas à ce stade-là du texte.
      On croit comprendre que ce pourrait être le peuple juif de l’époque. Pourtant c’est Constantin Premier, dit ”Le grand”, qui a imposé le christianisme dans l’Empire gallo-romain, plus de trois siècles après J.C.
      Où en était le peuple juif sous Constantin Premier ? est-ce lui qui aurait lobbyisé pour imposer le christianisme ? Sans Constantin Premier, les chrétiens auraient-ils conquis tout l’Occident spirituellement et matériellement ? ce petit ”peuple élu” aurait-il eu assez de pouvoir, d’influence et de moyens militaires pour réussir, à lui seul, cette mutation géante, bien au-delà du futur Empire de Charlemagne, qui transforma la chrysalide des vieilles croyances de l’Antiquité en la secte parfaite du christianisme ?

      Cette première question est déjà un beau sujet pour une thèse de mille pages.

      Le corpus du christianisme en tant que religion est dû à Paul de Tarse, dit Saint-Paul, dont l’oeuvre est antérieure à l’écriture des Evangiles. Cette oeuvre est le plus ancien document disponible sur la genèse du christianisme. Saint-Paul, lui-même Juif, avant sa rencontre mythique avec J.C., était un adversaire des chrétiens. Pourquoi les Juifs auraient-ils attendu deux siècles pour utiliser cette oeuvre, sous Constantin Premier, afin de subjuguer les peuples d’Occident ?

      2) ”Pour nous culpabiliser”

      Là vous et moi tombons d’accord à 100 % que cette culpabilisation est l’essence du christianisme, et qu’elle a été géniale. Date-t-elle vraiment de Saint Paul ? et si oui, sans Constantin Premier qui a compris l’incomparable potentiel d’obéissance et de soumission qu’elle recélait, cette culpabilisation aurait-elle, à elle seule, bouleversé de fond en comble les bases de la société européenne pour les 1700 années suivantes ?

      Car cette culpabilisation, 1600 ans avant le bon docteur Freud, a été bien plus astucieuse et encore plus efficace que le divan freudien. Ce divan n’a été qu’une pâle copie du confessionnal, il lui a manqué la dimension spirituelle cosmique et la sublimation intelligente. Le pauvre Freud a embourbé ce potentiel extraordinaire dans les sécrétions sexuelles, assassinant ainsi lui-même son oeuvre. En revanche, je reconnais que le potentiel financier du Freudisme n’est pas méprisable ; mais il n’est pas allé plus loin que l’enrichissement déraisonnable de toute unes armée de charlatans qui s’en sont servi, au nom de Freud et sans même l’avoir lu, pour se faire grassement payer en espèces par des personnes convaincues que ce paiement douloureux faisait partie de leur rédemption libératrice.

      3) ”et nous affaiblir”

      Ca se discute. Non si on songe aux Croisades. Mais oui si on songe au stade actuel où est parvenue la putréfaction du christianisme par le marxisme, et si on songe au coup de grâce par l’islamisme.

      En effet, il y a des personnes instruites estimables qui vous disent que l’islamisme est derrière toutes les actuelles violences qui endeuillent présentement notre planète.

      Ces personnes ont regardé les temps présents avec des oeillères. Car leur jugement est superficiel. Il serait beaucoup plus exact de dire que ces violences n’endeuillent pas la planète entière mais toutes les parties de la planète où le christianisme coexiste plus ou moins avec l’Islam. En effet, les chrétiens forment des victimes idéales, des victimes irrésistiblement tentantes pour des primates assoiffés de sang chaud. Au dernier degré de décomposition où les a amenés la culpabilisation, les chrétiens d’aujourd’hui appellent les persécutons comme les nuées appellent les orages.

      Exemples : en tout premier lieu, le pape actuel ; commentaires superflus. En second lieu, ce pauvre handicapé rendu infirme par une agression de brutes islamisées qui est allé voir le pape pour se faire apprendre à pardonner à ses agresseurs, on ne peut imaginer pire. Le gendarme de Carcassonne, ce n’était pas mal non plus. Quand on pense au chemin qui reste à parcourir avant d’en finir avec ces jouissances masochistes collectives engendrées par la culpabilisation !……..

  5. Voltaire, Rousseau, Hitler, Marks, Lenine-c’est une bande d’ordures rouges et gauchistes (oui Hitler etait rouge-version nationaliste-son drapeau etait rouge :) )

  6. Dans son esprit, cette intervention était pertinente et nécessaire. Parmi les citations, celles de Voltaire remportent le pompon. Voltaire est d’ailleurs la source numéro un des citations de curé enragé ce coup-ci. Une autre des citations de Voltaire est du plus haut intérêt, car Voltaire y avoue à mots couverts qu’ll a été un entrepreneur actif et fort avisé dans la traite des Noirs, ce que nombre de gauchos bornés et négationnistes nient farouchement, malgré toutes les preuves accablantes qu’on en possède.

    Malheureusement, l’une de ses citations (extraite d’un texte de l’Esprit des Lois) est comprise de travers par notre cher curé enragé, j’en suis gêné pour lui, mais ne serait-ce que pour préserver la crédibilité de RL,e me dois de corriger cette erreur. Il ne faut pas qu’on nous prête une inculture de primate, ni des pensées dignes des plus désespérantes réunions du KKK. Je n’entends combattre nos ennemis qu’à partir de la vérité et sans jamais cesser de rester au sommet dans les combats intellectuels. Il est donc indispensable de dissiper tout malentendu.

    Cette citation est celle de Montesquieu, où cet auteur écrit que Dieu n’aurait pas eu l’idée saugrenue de mettre une âme dans un corps tout noir. J’ai reçu un électrochoc en entendant cela et en le lisant en même temps sur l’écran.

    Car cette citation de curé enragé est un petit extrait d’un texte, plus long, de l’Esprit des Lois, authentiquement ANTIRACISTE, écrit par Montesquieu sur le mode ironique par le second degré, pour se moquer des racistes au front bas et aux cheveux courts .

    Pour une fois, je vais m’impliquer personnellement dans l’affaire. Le texte en question, hasard inattendu, j’ai planché dessus à l’oral du premier baccalauréat, épreuve de français, session 1957 ! tel que ! A cette date, il existait non pas un mais deux baccalauréats. On se présentait au premier à la fin de la classe de Première, et au second à la fin de la classe Terminale. Trois ”séries” principales étaient proposées au premier bac : Classique, Moderne et Technique ; ainsi qu’au second bac : Math Elem (abrégé de ”Mathématiques élémentaires”), Sciences Expérimentales ( abrégé : sciences Ex”) et Philosophie (abrégé : Philo). Pour chaque bac il y avait épreuves écrites suivies d’épreuves orales. Quand on avait réussi l’écrit, on n’était qu’ ADMISSIBLE”, on ne pouvait être ADMIS que si on avait été admissible et ensuite, reçu à l’oral.

    Les épreuves écrites comportaient pour le premier bac une grande épreuve de français, une épreuve de langue vivante et une de latin-grec, une épreuve de Mathématiques et une épreuve de Physique.
    Pour le bac Math Elem, à l’écrit grandes épreuves de maths, de Physique-Chimie + une grande épreuve de Philosophie-français. L’oral était plus complet qu’au premier bac : on y subissait une épreuve de langue vivante, une de sciences dites naturelles, où le programme était corsé, avec étude approfondie du corps humain, par exemple une description très complète du système cardio-vasculaire, dans laquelle les nombreux organes du coeur tournaient au cauchemar pour ceux affligés de mauvaise mémoire (entre les valvules, les systoles, les noms des vaisseaux entrants dans le coeur et sortants du coeur, les ventricules, les oreillettes, la système délicat des pompages du sang dans les poumons pompages entrants et pompages sortants), ajoutez à cela le cycle peu évident de la carboxyhémoglobine, la ménagerie des globules blancs et rouges, sans oulier le système parallèle lymphatique, dans l’émotion inhérente à un examen difficile, un jeune ado se mélangeait facilement les pinceaux. Il y avait aussi une épreuve d’Histoire, dont le programme était l’Histoire contemporaine depuis 1870 (guerre franco-prussienne incluse). (Perso, à l’oral de Math Elem, , j’ai été interrogé sur les traités de Francfort (1871) et de Versailles (1919)) En sciences naturelles, j’ai été interrogé sur le système nerveux, un thème au moins aussi complexe que le système cardio-vasculaire.

    C’étaient deux ”bachots” à part entière où il y avait beaucoup de candidats et peu de reçus.

    Le Premier bac éliminait beaucoup de monde car une note inférieure ou égale à 6/20 en Français était éliminatoire, même si on avait 20/20 à toutes les autres épreuves. Beaucoup de jeunes ados pas du tout demeurés se faisaient ”étendre” à cause de cette satanée ”note éliminatoire en français”, sur laquelle aucun professeur n’aurait transigé pour rien au monde : dura lex, sed lex.

    Pour donner une idée : en 1958, quand j’ai passé mon bac ”Math Elem”, il y a eu environ 60 000 candidats dans toute la France et un peu moins de 5000 reçus.

    Donc je reviens à Montesquieu : ce texte de Montesquieu, extrait de l’Esprit des Lois, m’a été présenté, tout imprimé sur une feuille à part, par une professeur de français, à l’oral du premier bac. Je venais juste d’avoir seize ans. Cette dame était austère, son visage sans mystère disait, sans paroles, qu’on n’était pas là pour rigoler. Son physique n’était ni séduisant ni repoussant, mais respirait une intelligence dominée par une volonté de fer. Elle parlait très peu et m’a laissé lire le texte pendant 15 minutes. Il se trouve que je l’avais déjà lu plus d’un an auparavant, dans un contexte non scolaire. Mais tout ému de cet oral, je l’ai relu plusieurs fois attentivement. Au bout d’un quart d’heure, la prof m’a convoqué, s’est assise en face de moi sur un banc scolaire semblable à celui où je m”étais moi-même assis, sur son invitation. Elle commença ses questions, brèves, et tranchantes comme des rasoirs. Son visage restait inexpressif et impassible.

    Elle me demanda diverses précisions sur Montesquieu, si j’avais mis le nez dans son ”esprit des lois” (cette oeuvre ne figurait pas au programme de Première). Elle creusa ce thème en me parlant des trois pouvoirs, me priant de lui dire ce que j’en pensais. Tout cela mangea du temps, car je pesais mes réponses en tachant de ne rien dire qui eût pu compromettre mes chances.
    Après ces échanges d’escarmouches, elle en vint à l’essentiel : ”d’après vous, le texte de Montesquieu signifie-t-il qu’il pense que les Noirs n’ont pas d’âme ? ”. Alors là, j’en fus sidéré et soulagé à la fois. Intérieurement, je pensai ”mais elle me prend pour un demeuré, elle teste si je vais croire que Montesqueieu pensait sérieusement que Dieu ne pouvait pas avoir eu l’idée farfelue de mettre une âme dans un corps tout noir” aussi lui répondis-je assez vivement ”non, non, Madame, évidemment Montesquieu se moque de ceux qui croient cela, d’ailleurs tout son texte vise à montrer que les Noirs doivent être considérés comme des hommes comme les autres. C’est un texte qui critique par l’ironie le racisme de bas étage, si on le lit en le prenant au pied de la lettre, on n’y a rien compris ! il critique par la dérision !

    La prof, sans ciller, conservant son visage inexpressif et hiératique, me dit simplement, d’un ton neutre : ”l’examen de français est terminé, vous pouvez aller passer les autres épreuves”.

    Bien que je fusse sûr de mes réponses, je n’en menais pas large, cette impassibilité de la prof m’avait à la fois épuisé et décontenancé, donc je ne pouvais être sûr de rien, aucun élément ne me permettait de deviner ce qu’elle pensait personnellement de ce texte de Montesquieu. Je ne pouvais me raccrocher qu’à ma certitude, d’après ma connaissance de la langue française, que je ne lui avais pas dit de bêtises, car dans ce texte, l’ironie et la méthode de la dérision de Montesquieu sont ”grosses comme une maison”.

    J’ai su plus tard, en consultant mes notes suite à mon admission, que je n’avais dit à cette prof sévère aucune bêtise, et que j’avais réussi cette épreuve-là.

    Alors j’en suis vraiment désolé et peiné pour curé enragé, il aurait dût citer le texte entier, qui dit le contraire de ce qu’il est en train de prétendre en utilisant cet extrait pour prêter à Montesquieu, dans cette circonstance-là, des pensées contraires à celles qu’il exprime par ce texte de dérision.

    Chaque membre de LR qui prendra la peine de lire ce texte de Montesquieu en entier ne pourra que se convaincre de la terrible méprise de curé enragé. Connaissant sa bonne foi et son grand coeur, je sais qu’il sera le premier à reconnaître et déplorer son erreur, et je lui dis ici que cette mésaventure ne me fait absolument pas changer d’idée sur lui, c’est un vrai curé brave homme, au grand coeur, un curé comme on les aime même si comme moi, on n’est pas croyant, un curé de toujours bien de chez nous et que l’on respecte. Dans ma vie d’enfant et d’dolescent, je n’ai jamais eu affaire qu’à des curés bien sous tous rapports, même si je n’ai jamais mordu au catéchisme. Je n’ai jamais été témoin de quoi que ce soit de contraire aux bonnes moeurs et à la morale durant mes quatre colonies de vacances d’un mois plein au cours de l’été où j’ai séjourné, quatre ans de suite. Je serais un sombre salaud si je laissais entendre le contraire. Tous ces curés que j’ai connus ont été irréprochables et faisaient tout pour nous rendre polis, bons et loyaux. Et pour nous trouver des activités instructives passionnantes. Ces braves curés ont beaucoup compté dans la formation de mon esprit, alors même que je n’ai jamais été croyant. Alors s’il vous plaît, curé enragé,n pardonnez-moi d’avoir publié cette histoire. Errare humanum est. Seule la persévérance dans l’erreur est diabolique, vous le savez mieux que moi !

    BIBLIO : je renvoieles leveurs à cette analyse, juste mais lourdingue, de ce célèbre texte de l'<esperit des Lois.

    http://www.farum.unige.it/francesistica/pharotheque/analyse.textuelle/Texte%205%20Montesquieu.htm

    N.B. l'auteur du commentaire du texte de Montesquieu qu'on trouve dans le lien ci-dessus ne peut cacher son embarras car il est marxiste, le pauvre, et du coup ses explications de l'ironie du texte de Montesquieu sont malaisées et ampoulées, comme les gestes d'un danseur qui martyrise les pieds de sa cavalière. Quelle pitié ! quelle époque de médiocres quand même ! mon ancien prof de français en classe de Première ne lui aurait pas mis 6/20 pour cette prestation ! Si j'avais été prof de français en Première, j'aurais proposé à ma classe d'expliquer le mécanisme de l'ironie dans le texte cité de Montesquieu, en précisant qu'il fallait considérer comme acquis que ce texte est ironique et n'est qu'un plaidoyer pour l'exécration et l'abolition de l'esclavage. La question n'est pas là : elle est d'écrire une analyse de l'ironie de ce texte de Montesquieu et le seul rôle du prof sera de juger l'intelligence de cette analyse. (je persiste : 6/20 service compris pour l'auteur de l'analyse qu'on trouve dans le lien ci-dessus).

    • Bravo et merci pour ce recadrage. Ce qui m’a toutefois le plus réjoui, c’est l’extrême précision de vos souvenirs de potache. Quelle mémoire!

  7. Très belles citations! on mesure le niveau de liberté d’expression qui avait court avec la Monarchie française, jusque pendant la troisième république. Après, commence à se mettre en place le terrorisme judiciaire anti-français.

    • “il est des nô-ô-tres! il a bu son coup comme les au-au-tres ! c’est un ivro-o-gneuhhh, ça se voit rien qu’à sa tro-o-gneuhh!” qui n’a jamais chanté ça ici?