Ils viendront tuer vos enfants dans les écoles

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Pif, paf, pouf. Les attentats se suivent et ne se ressemblent pas. On saluera l’imagination des tristes barbes noires musulmanes. Je t’écrase. Je t’égorge. Je te perce au calibre 7,62. Dans ta ville, chez toi ou dans ton église. Pendant que j’écris ces lignes, Manuel Valls nous explique que nous devrons nous y habituer, qu’il s’attèlera à soigner « la santé mentale » de ces gens (ne nommons pas les musulmans, restons vagues) et que l’Education Nationale les « éduquera » bien comme il faut.J’ai envie de te dire Valls, viens dans nos écoles, viens instruire ces graines de djihadistes, viens te confronter à la réalité de notre putain de France, la guerre civile est là, la mèche est allumée et vos manuels scolaires « nouveaux programmes » ne l’éteindront pas.

Toujours pendant que j’écris ces lignes, l’archevêque de Paris nous explique que c’est probablement la médiatisation excessive des attentats qui incite des « jeunes » désœuvrés à passer à l’acte pour connaître un bref moment de gloire. Il nous expliquera bientôt que c’est la faute des jeux vidéo. Pas bien les Pokémons. Qu’il faut leur donner du travail : toi pas perdre le boulon, pas casser l’écrou. Bêtise sans nom.

Puis vient le tour du vice-président du Conseil français du culte musulman de nous expliquer qu’il ne se sent pas concerné, qu’il n’a pas à se justifier car ces individus ne sont pas des musulmans : « Pas possible, l’islam c’est la paix ». A gerber. Je coupe la télé.

Maintenant j’ai quelque chose à vous dire, vous, français de souche. Votre monde tel que vous l’avez connu bascule. Nous en sommes à l’apéritif, la rentrée va vous faire connaître vos pires cauchemars. Ils viendront tuer vos enfants dans les écoles, au couteau ou à l’arme automatique si vous êtes chanceux (la souffrance de votre petit bout sera moins longue si la balle est bien placée). Vous les laisserez le matin en toute sérénité, avec le doudou dans le cartable et le goûter dans le manteau. Vous récupérerez tout cela dans un balluchon à la morgue. Vous tiendrez ces objets dans vos mains, la morve au nez et le sanglot inconsolable.

Mais pas d’amalgame. Ce ne sont pas des musulmans qui tuent. C’est pas l’islam. Regardez une carte du monde et des conflits pour vous en convaincre.

Vous pensez que tout ira bien ? Que les écoles sont sécurisées ? Je suis prof. Je peux vous dire qu’on entre dans une école comme dans un moulin. On enjambe un portail pour les plus courageux, on sonne et on dit qu’on vient pour une livraison de la mairie pour les plus fainéants. On pénètre dans une classe de maternelle, on égorge la maîtresse et l’ATSEM au coin bibliothèque, puis on s’occupe ensuite des petits poussins, façon « sourire kabyle ». Pendant ce temps les autres classes appliquent le plan particulier de mise en sureté spécial « attentat ». On se confine en silence en attendant son tour (en invoquant l’esprit de Najat Belkacem) ou on quitte la classe à pas de loup pour se trouver nez à nez au détour d’un couloir avec les tristes barbes noires. Au choix.

Le mieux, je vous le dis, est de commencer à apprendre à vos enfants l’arabe et les sourates du coran. Sur un malentendu ça peut passer et ça nous évitera de sortir les bougies et les slogans « Pray for l’école Tartempion ». Pour les autres il ne faudra pas venir pleurer, vous aurez été prévenus : REAGISSEZ !

Charles Marteau

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8 Commentaires

  1. Sur la promenade des Anglais massacres comme un jeux de quilles sauf que ce n’était pas un jeu mais bien réel et sont des gens innocents qui ont payés le prix fort des divagations politiques de nos élus dont complices.Vous parlez d’attaques dans des écoles mais ça ne s’arrêtera pas que là.Tant d’endroits seront la cible de cet Islam conquérant et mortifère dont de nombreux adeptes ont fait leurs lits en France .Qu’adviendrait il si un commando de barbus montaient à bord d’un TGV déguisés en quidam lampda pour tromper la vigilance et une fois à l’intérieur et le train lancé à toute vitesse un mitraillage en règle des passagers sans possibilités pour les victimes de pouvoir s’échapper ? Car le temps que la police intervienne il y aurait beaucoup de victimes ! Je pense que puis ce que nous sommes en guerre et que notre ennemi se trouve à l’intérieur de nos murs il serait sage que une partie de la population Française autre que les forces de police ait la possibilité d’être armé pour se défendre étant donné que le gouvernement ne peut pas ou ne veut pas vous protéger de par leurs divagations politiques et voir complicité pour quelques uns d’entre eux d’avoir favorisé cet état de faits qui chaque jour amène son lot de massacres en tout genre .

  2. Les écoles vont y passer et c’est sûr.
    Moi à Alger en Mai 1962 on a eu une Strouga dans mon école.
    J’ai vu une partie de l’école partir en morceaux et des enfants par terre.
    Toutes les classes essoufflées par la bombe.
    Heureusement que la plupart de nous épargnés à cause du préau.
    On nous a vite renvoyé chez nous. Pas de cellules psycho à l’époque.
    Couvre feu le soir avec des autos-mitrailleuses des gardes mobiles.
    Ne pas sortir sinon Ping ! On avait les mêmes socialos qui défendaient les criminels.
    A l’époque un enfant musulman qui allait à l’école Française, sa famille était égorgée.
    Voilà ce qui nous attend.
    Un PN…

  3. L’expression qui me fait le plus marrer chez eux est “Islam de France”. Comme si il existait un catholicisme de Monaco ou un protestantisme du Zimbabwé

  4. Le grand lavage de cerveau orchestré par Mohamed Valls et Ali Hollande fonctionne plein pot. Les Muzz le savent. Non seulement la France leur laisse le champ libre, en plus les masses les encensent en continuant à faire ami-ami avec eux.

    Voir ici (prendre note du nom de la journaleuse qui a écrit le papier) :
    Les musulmans se joignent aux prières des catholiques à Saint-Etienne-du-Rouvray

    “Vous êtes les bienvenus chez nous”. C’est par ces paroles que le prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray a grand ouvert les portes de sa paroisse samedi, à des dizaines de fidèles musulmans, lors de la veillée organisée en mémoire du père Jacques Hamel égorgé mardi. Une première pour ces croyants, “dans cette autre maison de dieu”.

    En groupe, juste après la prière du Asr, qui marque la fin de l’après-midi, des fidèles musulmans sont venus témoigner leur solidarité auprès de la communauté catholique de Saint-Etienne, où le prêtre Hamel a été assassiné par un commando jihadiste. Sous le regard bienveillant du père Auguste Moanda, des musulmans en kamis et kufis, tenue traditionnelle portée pour la prière, se sont joints à quelque 400 catholiques sur les bancs de l’église Sainte-Thérèse du Madrillet.

    De nombreux chrétiens ont répondu à l’appel du diocèse de Rouen à venir rendre hommage au père Hamel. Dans une église comble dès 18h00, à l’entrée de laquelle était posté un camion de police, la messe s’est déroulée dans le calme, suivie par la veillée.

    Les fidèles de toutes confessions ont entonné en ch?ur des extraits de l’Évangile, face à un portrait du père Hamel disposé sur une estrade entourée de bouquets de fleurs.
    -50%
    Lien:
    https://fr.news.yahoo.com/musulmans-joignent-pri%C3%A8res-catholiques-%C3%A0-saint-etienne-rouvray-210025221.html?nhp=1

    Les muzz importent tous leurs conflits sur nos terres. France et Allemagne en tête.
    https://www.rt.com/news/354035-erdogan-rally-germany-politicians/

    Les temps à venir risquent d’être intéressants. La campagne présidentielle de 2017 se jouera sur les conflits inter-ethniques et sociaux, pas sur les réformes économiques à apporter, indispensables à la survie du pays.

  5. le lendemain de la tuerie de Nice, j’ ai été un des premiers a évoquer l’ attentat dans une crèche, un jardin d’ enfant, une maternelle

    j’ habite a coté d’ une crèche, les loupiots ont de petites têtes blondes (comme avant) et le spectacle qu ils offrent y compris leurs cris , c’est autre chose qu une merdrassa

    et tu peux entrer dans cette crèche en prétextant n’ importe quoi, par exemple que ton chat s’ y est introduit, ou que tu veux inscrire ton môme…

    ces représentant d’ un Islam de paix et d’amour seraient bien capables de pousser l’ horreur jusque là…

    espérant devant cette abomination voir les Français ivres de haine déferler sur les zones arabo-musulmanes et allumer cette guerre qu ils font tout pour aider a démarrer

  6. En effet, quant un système politico républicano oligofréno mafieux, s’est emparer du pouvoir, ils peuvent changer les lois à leurs guise. et en plus ils ont le contrôle des médias au service des super vampire milliardaire.

    Donc, il est impératif, de pratiquer la désobéissance civile, en s’organisant ensemble, car de plus en plus on ne sera plus, dans un état de droit.

    Toute personne qui collabore avec un tel système devra être considérer comme un traitre et un salopard.

    Voir la déclaration de Kennedy qui nous a mis en garde :

    Dear Ladies and Gentlemen,

    Kennedy warned against secret societies
    A speech given to the press in 1961

    Mr. Chairman, ladies and gentlemen:

    « Tonight, I want to talk about our common responsibilities in the face of a common danger.
    The events of recent weeks may have helped to illuminate that challenge for some; but the dimensions of its threat have loomed large on the horizon for many years.

    Whatever our hopes may be for the future — for reducing this threat or living with it — there is no escaping either the gravity or the totality of its challenge to our survival and to our security — a challenge that confronts us in unaccustomed ways in every sphere of human activity.

    « The very word ‘secrecy’ is repugnant in a free and open society; and we are as a people inherently and historically opposed to secret societies, to secret oaths and to secret proceedings.
    We decided long ago that the dangers of excessive and unwarranted concealment of pertinent facts far outweighed the dangers which are cited to justify it.

    Even today, there is little value in opposing the threat of a closed society by imitating its arbitrary restrictions.

    Even today, there is little value in insuring the survival of our nation if our traditions do not survive with it.

    And there is very grave danger that an announced need for increased security will be seized upon by those anxious to expand its meaning to the very limits of official censorship and concealment.
    That I do not intend to permit to the extent that it is in my control.

    And no official of my Administration, whether his rank is high or low, civilian or military, should interpret my words here tonight as an excuse to censor the news, to stifle dissent, to cover up our mistakes or to withhold from the press and the public the facts they deserve to know.

    « Today no war has been declared — and however fierce the struggle may be, it may never be declared in the traditional fashion. Our way of life is under attack. Those who make themselves our enemy are advancing around the globe. The survival of our friends is in danger. (…)

    « For we are opposed around the world by a monolithic and ruthless conspiracy that relies primarily on covert means for expanding its sphere of influence — on infiltration instead of invasion, on subversion instead of elections, on intimidation instead of free choice, on guerrillas by night instead of armies by day.

    It is a system which has conscripted vast human and material resources into the building of a tightly knit, highly efficient machine that combines military, diplomatic, intelligence, economic, scientific and political operations.

    « Its preparations are concealed, not published. Its mistakes are buried, not headlined. Its dissenters are silenced, not praised.
    No expenditure is questioned, no rumor is printed, no secret is revealed.
    It conducts the Cold War, in short, with a war-time discipline no democracy would ever hope or wish to match. (…)

    « It is the unprecedented nature of this challenge that also gives rise to your second obligation — an obligation which I share. And that is our obligation to inform and alert the American people — to make certain that they possess all the facts that they need, and understand them as well — the perils, the prospects, the purposes of our program and the choices that we face.
    « Without debate, without criticism, no Administration and no country can succeed — and no republic can survive.
    That is why the Athenian lawmaker Solon decreed it a crime for any citizen to shrink from controversy.

    And that is why our press was protected by the First Amendment — the only business in America specifically protected by the Constitution — not primarily to amuse and entertain, not to emphasize the trivial and the sentimental, not to simply ‘give the public what it wants’ — but to inform, to arouse, to reflect, to state our dangers and our opportunities, to indicate our crises and our choices, to lead, mold, educate and sometimes even anger public opinion.

    « This means greater coverage and analysis of international news — for it is no longer far away and foreign but close at hand and local.

    It means greater attention to improved understanding of the news as well as improved transmission.
    And it means, finally, that government at all levels, must meet its obligation to provide you with the fullest possible information outside the narrowest limits of national security — and we intend to do it. »
    John Fitzgerald Kennedy

    Avec mes sentiments Dévoués

    Zorro

  7. On est parti pour toutes les horreurs promises par ce type de conflit, l’école n’est qu’un détail, entre les égorgements au domicile, sur son lieu de travail, dans les rues, les jours de fêtes, dans le train, l’avion…
    Une nouvelle terreur va s’abattre sur le France au nom de deux idéologies, les droits de l’homme et l’islam. La première anesthésie les victimes, la seconde taille dans le vif.
    Côté réaction, la France est devenue une mosaïque ethnique et culturelle, dont l’ethnie majoritaire est divisée en deux clans engagés depuis environ 225 ans dans une lutte à mort. Une maison divisée contre elle même est condamnée à périr, c’est notre futur, sauf miracle !