29 Septembre 2015 – Chronique de Nation Vigilance [2]

Les masques ont tendance à tomber et les personnages finissent par se révèler tels qu’ils sont : minables et traîtres à la fois.

Nadine Morano est ce qu’elle est mais assume, elle ne fait que reprendre ce que disait le père fondateur du gaullisme dont tous ses amis politiques se référent quand cela les arrange et de moins en moins avec le temps.

En affirmant que notre pays était un pays de race blanche, elle n’a fait que reprendre ce que disait le Général.

Si personnellement je ne nourris pas d’admiration pour De Gaulle pour de nombreuses raisons,force est de constater qu’il a dit des paroles sensées dont notre appartenance à un monde blanc, ce qui indéniablement ne saurait être remis en cause par un Juppé (le meilleur d’entre nous avait dit Chirac) le pire en tous cas dans le contexte actuel et rejoint aussitôt par un Sarkozy qui lève le masque de ce qu’il est vraiment.

Ces deux là ne sont pas les seuls puisque la classe politique collabo est tombé à pieds joints sur Nadine Morano sacrifiée sur l’autel de la “bien pensance collabo”.

Nous saurons nous souvenir de toutes ces crapules, de ces rats dont le seul intérêt est de durer, de s’empifrer de pouvoir, quitte à affirmer n’importe quoi pour y arriver. Ces gens de pouvoirs nous méprisent tant à gauche qu’à droite, ils méprisent le peuple, leurs électeurs. Nous sommes les sans dents, le petit peuple et bientôt les sans rien grâce à eux.

Nous devons tout faire pour éviter de remettre sans cesse au pouvoir ces crapules et sans doute faudra-il aller plus loin car ces berniques sont crochés au rocher qu’ils ne lacheront pas.

Il n’y a plus à espérer faire changer de l’intérieur, rien ne changera de la sorte.
Voilà ce que je voulais dire à ceux qui avaient encore quelques illusions sur ces hommes politiques, nous nous les avons laissé derrière, depuis longtemps.

Laisser un commentaire

Votre commentaire sera publié apres contrôle.



1 Commentaire

  1. LE problème, l’ENORME problème, c’est que RIEN n’est prévu pour valider un vote sur un nombre minimal de voix.
    Ainsi, en ne votant pas, on laisse la porte ouverte à n’importe quoi.
    En admettant que tous les électeurs sauf UN SEUL restent à se peigner le poireau, le candidat pour lequel le SEUL électeur non onaniste se sera déplacé sera élu.
    Alors ?Il vaut mieux sans doute ne pas prendre le risque, et aller voter pour le moins pourri de tous. Dans un panier de fruits pourris, il y en a toujours un qui ne l’est pas complètement.
    Le hic, c’est qu’il faut mettre les paluches dans la bouillasse merdeuse pour le dénicher, et qu’il est rarement ragoutant…
    L’autre solution est d’aller voter avec un fusil sous le bras et de flanquer toute cette couche de pus aux chiottes. Mais… les temps ne sont pas encore venus.
    En attendant, Roger est content, avec quelques billets la douleur de son trou du cul est moins vive.