France 2023 [2]

Réseau Libre donne la parole à ses Lecteurs pour décrire ce que sera, à leurs yeux, la France en 2023. C’est à dire « demain »! Si vous désirez participer, envoyez-nous vos textes. Un vote sera ensuite organisé pour déterminer qui selon nos lecteurs a donné la plus pertinente description de notre pays dans 5 ans. Les Auteurs des textes ne seront divulgués qu’après le vote.


Chronique № 2

Je crains hélas, j’en suis même persuadé, que rien n’aura fondamentalement changé en 2023 par rapport à aujourd’hui.

Une petite comparaison: Observez le parc automobile dans votre ville. Le voyez-vous changer chaque année? Globalement, non. Pourtant revenez ne serait-ce que 15 ans en arrière et comparez avec aujourd’hui: Le changement est flagrant, mais il s’est fait petit à petit, et donc nous n’en avons pas été conscients.

La situation de notre pays c’est la même chose: Tout change, mais lentement, régulièrement, et nous l’acceptons car nous ne le voyons finalement pas. Si le changement entre la situation en 2000 et aujourd’hui s’était fait d’un coup, il est fort possible que les français en majorité se seraient révoltés. Mais il s’est fait lentement, et est donc passé comme une lettre à la poste.

Les choses vont donc continuer leur cheminement tranquile et les français, abreuvés de La Bonne Parole, continueront à tout accepter en se disant que de toute manière “c’est comme ca, point”. Lisez ce que disait Huxley en… 1939!

En 1981 quand Mitterand, l’ordure, l’ignoble, a été élu, certains de mes Amis disaient “ca va peter, il ne tiendra pas jusqu’au bout”. Je leur ai dit que non seulement il tiendra mais il sera ré-élu et que ses successeurs seront ses fils spirituels. C’est ce qu’il s’est passé. Pendant le mandat d’une autre ordure – et d’un fils spirituel de Mitterand”, Hollande, j’ai toujours dit qu’il sera ré-élu s’il se représente, ou que dans le cas contraire ce serait un de ses clones. Excellent, puisque c’est un de ses ministres qui l’a remplacé!

Donc Macron va continuer son petit chemin, entrainant le troupeau avec lui. La situation des francais ne changera globalement pas: Beaucoup qui vivotent chichement, une caste politique qui plume ses électeurs et se remplit les poches. Mais là encore ce sera “c’est comme ça, on ne peut rien faire”.

L’immigration va continuer, sans doute ralentir un peu face à la résistance de certains (Même Merkel commence à freiner…), mais franchement quelle différence qu’il rentre 700.000 au lieu de 1 million de clandos par an? Aucune! Mais là encore les français penseront “c’est comme ça, on ne peut rien faire”, et accepteront. Il suffit d’ailleurs de voir le nombre de couples “mixtes” pour vite comprendre, les français trouvent ça tout à fait normal. Qu’une française se fasse trucider par son ami immigrç, que la “fachosphère” en profite pour “stigmatiser” les clandos, et il se trouvera toujours une masse énorme de bons français de souche pour défendre la mixité! L’endoctrinement fonctionne parfaitement!

Les caisses sont vides, ce qui fait dire aux “experts” que “ça va pèter”! Mais non! Il suffira d’imprimer des billets pour les distribuer, et les français seront heureux! C’est ce qu’il se passe aux Etats-Unis où le déficit budgétaire est énorme depuis des années et gonfle encore chaque année! Il y aura peut-être un crach boursier mondial mais même dans ce cas les français ne bougeront pas. Ah ils raleront, oui! Sur Facebook…

On croisera dans les rues de plus en plus de “couples homosexuels”, la pédophilie sera bien sûr sévèrement punie… mais ne concernera que les enfants de moins de 12 ou 13 ans, âge à partir duquel ils seront considérés comme “sexuellement adultes”.

2023 sera donc 2018 avec un peu plus d’envahisseurs, un degré d’abrutissement général un peu plus élevé, des politiciens un peu plus riches. Rien de nouveau!

La seule chose qui pourrait chambouler tout ca, c’est une guerre. Contre la Russie sans doute, puisqu’elle est désignée comme L’Ennemi par les medias qui dictent leurs pensées au Bon Peuple! Ce serait la seule option pour sortir de cette “ligne droite” puisque la Russie envahirait très probablement une Europe résignée, et l’Ordre Russe ferait alors bien vite dégager les envahisseurs africains. Par contre je ne suis pas certain que les français accepteraient cet Ordre Russe au jour le jour! Mais après tout, ils ont l’habitude de tout accepter, alors…

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25 Commentaires

  1. Sommes nous déjà cuits …?
    L’ histoire de la grenouille…

    La grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite. Je connaissais déjà cette petite histoire que j’avais découverte en surfant au hasard sur le net. Elle repose sur une expérience selon laquelle une grenouille plongée dans l’eau d’une marmite que l’on chauffe très lentement jusqu’à ébullition serait incapable de prendre conscience du danger avant qu’il ne soit trop tard, se laissant engourdir puis cuire malgré elle. Par contre, si l’eau avait été chaude dès le début, la grenouille s’en serait sortie indemne en sautant de la marmite, la stimulation étant suffisamment critique dès le début.
    L’Histoire de la grenouille chauffée lentement (Olivier Clerc, écrivain et philosophe)
    Imaginez une marmite remplie d’eau froide dans laquelle nage tranquillement une grenouille…
    Et puis :
    – Le feu est allumé sous la marmite, l’eau chauffe doucement. Elle est bientôt tiède.
    La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
    – La température continue à grimper.
    L’eau est maintenant chaude, et c’est un peu plus que n’apprécie la grenouille.
    Elle se fatigue un peu, mais elle ne s’affole pas pour autant.
    – L’eau est cette fois vraiment chaude, et la grenouille commence à trouver celà désagréable.
    Mais elle s’est affaiblie, alors elle supporte et ne fait rien.
    – La température continue à monter, et la grenouille finit tout simplement par cuire.
    La grenouille est morte.
    Si la même grenouille avait été plongée directement dans l’eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l’aurait éjectée de la marmite. Cette expérience montre que lorsqu’un changement s’effectue d’une manière suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte.
    Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons :
    – Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont été peu à peu banalisées et nous dérangent mollement à ce jour, ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
    – Au nom du progrès et de la science, les pires atteintes aux libertés individuelles, à la dignité, à l’intégrité de la nature, à la beauté et au bonheur de vivre, s’effectuent lentement et inexorablement avec la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
    – Les noirs tableaux annoncés pour l’avenir, au lieu de susciter des réactions et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple à accepter des conditions de vie décadentes, voire destructrices.
    – Et le gavage permanent d’informations de la part des médias sature les cerveaux, qui n’arrivent plus à faire la part des choses…
    Lorsque j’ai annoncé ces choses pour la première fois, c’était pour demain. Maintenant, C’EST AUJOURD’HUI !
    Alors si vous n’êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuit, donnez le coup de patte salutaire avant qu’il ne soit trop tard.
    Au fait, NE SOMMES- NOUS PAS DEJA A MOITIÉ CUITS ?…
    Même si elle n’a pas pu être vérifiée jusqu’à présent, on observe que cette histoire s’applique à bon nombre de phénomènes de la vie courante. Elle dénonce le laisser aller de certains qui, accoutumés à des désagréments mineurs, se retrouvent bientôt piégés dans des situations beaucoup plus graves d’où ils ne peuvent plus sortir. On peu citer par exemple le lent conditionnement des femmes battues, la pollution inexorable des sols de notre belle planète ou au niveau santé, l’évolution d’un cancer. La manipulation de nos politiciens etc.
    Face à ces dangers, l’auteur nous propose trois grandes pistes :
    -Entraîner notre conscience : arrêter de jouer les robots et faire une pause de temps en temps pour prendre du recul et piloter consciemment nos faits et gestes. L’auteur va même jusqu’à parler d’éveiller notre conscience dans nos rêves, un comble!
    -Entraîner notre mémoire : afin de percevoir des changements subtils, il est crucial d’avoir une bonne mémoire. La mémoire permet de comparer, de discerner et au bout du compte de savoir évoluer dans la bonne direction.
    -Avoir de bons points de repère : si la grenouille n’arrive pas à agir face à la lente augmentation de la température, c’est peut-être aussi parc qu’elle ne sait pas où elle en est. Si elle avait eu un thermomètre(et avait été assez intelligente pour le lire), nul doute qu’elle aurait pu prendre conscience du danger. D’où l’importance d’avoir des références solides, et notamment des idéaux pour pouvoir avancer sereinement dans la vie.
    Voici la suite des 7 allégories présentées
    1 – La grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite
    Je connaissais déjà cette petite histoire que j’avais découverte en surfant au hasard sur le net. Elle repose sur une expérience selon laquelle une grenouille plongée dans l’eau d’une marmite que l’on chauffe très lentement jusqu’à ébullition serait incapable de prendre conscience du danger avant qu’il ne soit trop tard, se laissant engourdir puis cuire malgré elle. Par contre, si l’eau avait été chaude dès le début, la grenouille s’en serait sortie indemne en sautant de la marmite, la stimulation étant suffisamment critique dès le début.
    Même si elle n’a pas pu être vérifiée jusqu’à présent, on observe que cette histoire s’applique à bon nombre de phénomènes de la vie courante. Elle dénonce le laisser aller de certains qui, accoutumés à des désagréments mineurs, se retrouvent bientôt piégés dans des situations beaucoup plus graves d’où ils ne peuvent plus sortir. On peu citer par exemple le lent conditionnement des femmes battues, la pollution inexorable des sols de notre belle planète ou au niveau santé, l’évolution d’un cancer.
    Face à ces dangers, l’auteur nous propose trois grandes pistes :
    -Entraîner notre conscience : arrêter de jouer les robots et faire une pause de temps en temps pour prendre du recul et piloter consciemment nos faits et gestes. L’auteur va même jusqu’à parler d’éveiller notre conscience dans nos rêves, un comble!
    -Entraîner notre mémoire : afin de percevoir des changements subtils, il est crucial d’avoir une bonne mémoire. La mémoire permet de comparer, de discerner et au bout du compte de savoir évoluer dans la bonne direction.
    -Avoir de bons points de repère : si la grenouille n’arrive pas à agir face à la lente augmentation de la température, c’est peut-être aussi parce qu’elle ne sait pas où elle en est. Si elle avait eu un thermomètre(et avait été assez intelligente pour le lire), nul doute qu’elle aurait pu prendre conscience du danger. D’où l’importance d’avoir des références solides, et notamment des idéaux pour pouvoir avancer sereinement dans la vie.
    2. Le bambou chinois : la préparation dans l’obscurité
    Ce qui est étonnant avec cette histoire, c’est que j’en ai pris connaissance pour la première fois quelques jour avant dans l’email d’un ami.
    L’histoire raconte qu’il existe un bambou chinois à la croissance toute particulière. Lorsqu’on le plante, il ne donne aucun signe de vie pendant les quatre premières années. Puis la cinquième année, il se met finalement à pousser de façon fulgurante, pour atteindre 25 mètres. Il aura donc fallu quatre ans pour que la plante prépare ses racines à son émergence en pleine lumière.
    Cette histoire suit et en même temps s’oppose à l’allégorie de la grenouille. Elle propose de travailler lentement dans le secret pour ensuite grandir vite et fort au grand jour. On peut y voir un certain parallèle avec le mécanisme de procréation, qui a lieu dans une matrice protectrice, ou avec la lente maturation d’une idée de projet dans le cerveau d’un entrepreneur. L’important est de protéger la création naissante de l’agression du monde extérieur. Une fois prête, elle fera une entrée rayonnante au devant de la scène.
    Le thème de la prise de conscience et de la persévérance sont présents ici aussi. En effet, l’évolution sera très subtile au début, il faudra donc beaucoup de sensibilité pour prendre conscience du phénomène et de volonté pour continuer alors que les signes de progression sont si minces.
    Enfin, si on prends la chose d’un point de vue négatif, on peut faire un parallèle avec le krach boursier démesuré de la fin 2008. Les racines de cette crise se sont construites lentement, de façon imperceptible pour beaucoup, mais la mauvaise gestion du système financier mondial est un mal bien ancré dans la terre, dont il faudra longtemps pour en venir à bout.
    3. La cire et l’eau chaude : la force de la première impression
    Cette allégorie apparaît dans de nombreux livres sur la créativité, dont le fameux Lateral thinking de Edward Bono. Le principe est de faire couler un peu d’eau chaude sur une surface de cire plane. On se rend compte alors que l’eau chaude a tôt fait de creuser un chemin sur la cire. Mais ce qui est le plus remarquable, c’est que lorsqu’on refait couler de l’eau, le chemin emprunté reste implacablement le même. Ainsi, c’est la première impression qui détermine le cours de tous les écoulements d’eau suivants.
    Parmi les situations analogues évoquées dans le livre, je me suis particulièrement retrouvé dans celle du pianiste qui déchiffre une nouvelle partition. Il est vrai qu’il faut veiller à travailler lentement au début, et en particulier éviter de commettre des fautes de lecture ou de doigté. Autrement, un mauvais plis peut vite se former et rendre toute correction fastidieuse, la mémoire kinesthésique (du corps) ayant pris le relais sur le mouvement conscient des doigts.

    Sortir du tracé imprimé dans la cire est également un thème récurrent du développement personnel. On y apprends à abandonner d’anciennes habitudes inefficaces pour en adopter de nouvelles plus adaptées à nos objectifs. On se motive à sortir de notre zone de confort pour explorer de nouveaux horizons. On remet en question nos à priori pour faire évoluer notre esprit et aiguiser notre créativité. La question est vraiment de sortir de notre conditionnement initial pour reprendre les rennes de notre vie.
    Rappelons aussi que la cire et l’eau chaude sont deux faces d’une même pièce. La cire, qui symbolise l’inconscient, la matière ou le corps, complémente l’eau chaude, symbolisant la conscience, l’énergie ou l’esprit. L’eau chaude sculpte la cire et la cire canalise l’eau chaude. On ne peut être efficace qu’en sachant équilibrer les deux, tantôt en utilisant le savoir-faire contenu dans les habitudes, tantôt en prenant consciemment la voie du changement.
    4. Le papillon et le cocon : l’aide qui affaiblit et l’épreuve qui renforce.
    Lorsqu’un papillon est prêt à sortir de son cocon, il lui faut beaucoup de force pour s’en extirper et prendre son envol. Pourtant, saviez-vous que c’est une étape absolument nécessaire à sa survie? En effet, sans cette épreuve de force, le papillon serait incapable de développer la musculature qui lui permettra de prendre son envol. C’est pour cela qu’il ne faut jamais aider un papillon à sortir d’un cocon en le perçant, ça le condamnerait.
    Cette allégorie est très pertinente de nos jours où l’on se demande souvent dans quelle mesure nous devons aider les pays du tiers monde, assister un enfant qu’on éduque ou traiter une maladie bénigne. Car toute souffrance n’est pas inutile. Bien sûr il y a des situations d’urgence où l’aide est nécessaire, sous peine d’une issue néfaste et fatale. Mais bien souvent, nous devons nous garder ‘intervenir à tout bout de champ et choisir de soutenir l’effort au lieu de le substituer par la facilité et la dépendance extérieure.
    L’histoire du papillon et du cocon fait l’éloge de la force intérieure comme moyen de croissance et de dépassement de soi. Elle dénonce les solutions de facilité qui n’induisent pas un véritable changement en profondeur. Il faut laisser le temps à l’individu de s’adapter et d’affronter l’épreuve par ses propres moyens, guidé par la motivation inspirée par les grands bénéfices qui l’attendent au bout du chemin.
    La souffrance n’est plus alors un fardeau mais a sa raison d’être car elle donne un prix à toute chose. Elle rends heureux car elle permet de mieux apprécier nos acquis.
    Finalement, tout ceci nous pousse à agir de façon subtile et responsable lors d’un accompagnement, en canalisant la force intérieure de l’accompagné pour que s’exprime en lui tout son potentiel.
    5. Le champ magnétique et la limaille : modifier le visible en agissant sur l’invisible
    L’allégorie de la limaille et du champ magnétique repose sur une expérience toute simple que l’on réalise habituellement à l’école primaire. Elle consiste à saupoudrer avec de la limaille de fer une table en Formica sous laquelle on aura préalablement dissimulé un aimant. On constate alors avec émerveillement que les petites particules noires viennent se disposer en suivant les lignes de force invisibles qui relient les pôles de l’aimant. Si l’on n’est pas satisfait du motif obtenu, on peut renouveler ensuite l’expérience en utilisant de la limaille colorée en bleu. Cependant, même si la couleur a changée, les particules épouseront invariablement le même schéma.
    On ignore souvent cette influence de l’invisible sur le visible, de sorte que nous avons trop souvent tendance à traiter les symptômes d’un problème (colorer la limaille) au lieu d’agir sur les causes profondes (modifier l’aimant). Cette histoire m’a fait penser au cheminement que font tous les apprentis séducteurs (y compris moi-même) après avoir lu la bible en la matière : le livre The Game : Les secrets d’un virtuose de la drague. Avides de solutions rapides, ils commencent par imiter le comportement des “experts” du domaine. Ils apprennent donc des tours de magie, des dialogues pour entamer les conversations ainsi que des histoires à raconter et autres tests psychologiques dont les femmes sont friandes. Puis lors de la pratique, beaucoup sont déçus car au-delà de ces astuces, leur sentiment d’insécurité laisse transparaître un manque d’intégrité et d’authenticité évidents. La peinture étalée sur un fond incohérent s’effrite. Le changement opéré n’est pas durable.

    Ceux qui persévèrent se rendent compte alors à quel point certaines croyances profondément ancrées dans leur esprit peuvent limiter leur champ d’action (le champ magnétique dans l’allégorie). Ainsi notre éducation maternelle nous apprends-elle à être gentil avec les femmes, ces êtres délicats, élégants et émotifs persécutés par un monde d’hommes tout puissants. D’où la tentation d’une discrimination positive, où l’on hisse les femmes sur un piédestal et dont on s’offre les faveurs de manière artificielle, au prix de divers cadeaux et autres flatteries. Celui qui adopte cette stratégie se retrouvera immanquablement relégué au rang de bon ami facilement manipulable plutôt qu’objet de désir.
    Cette prise de conscience de nos croyances limitantes est la première étape vers une évolution durable, qui ne sera atteinte que lorsqu’on aura modifié cette croyance au plus profond de nous-même : notre inconscient. Pour cela, il faudra travailler lentement grâce notamment à des changements d’habitudes qui aideront à modifier notre état d’esprit.
    Au delà du parallèle avec l’inconscient, l’auteur nous invite à constater à quel point notre monde est régit par des forces non perceptibles par nos cinq sens. Ainsi une multitude d’appareils familiers utilisent des ondes tels que : la radio, la télévision, le téléphone portable, le radar, le sonar. Et nous communiquons chaque jour sur l’internet grâce à d’infimes impulsions électriques alimentées pour un grand nombre par la radioactivité du combustible des réacteurs nucléaires. Nous devons être conscients qu’au delà de la matière visible règne un monde moins dense, plus subtil dont l’influence est pourtant considérable.
    6. L’œuf, le poussin… et l’omelette : de la coquille au squelette
    Un œuf est formé initialement de matière molle entourée de matière dure : le futur poussin à l’intérieur est entouré par la coquille qui empêche le liquide de s’épandre et protège le tout du monde extérieur. Puis, à la fin de la maturation, la situation s’inverse : le poussin a intériorisé la partie rigide dans son squelette et la partie molle (les chairs et les organes) se retrouve à l’extérieur. Il brise alors la coquille devenue inutile, étant assez fort pour faire ses premiers pas dans la vie.
    Voici une allégorie de choix pour étudier les diverses structures éducatives et sociales dans lesquelles nous évoluons lors des transformations qui jalonnent notre vie. La partie rigide est le symbole des règles et principes que nous devons suivre pour y vivre harmonieusement. Au départ, nous y sommes forcés par une barrière extérieure : nos parents nous apprennent à respecter notre prochain, à choisir la voie du bénéfice durable plutôt que du plaisir immédiat et à agir pour le bien commun. Puis idéalement, nous avons suffisamment assimilé ces principes pour nous tenir droit tout seuls et être autonomes.
    Les choses ne se passent pourtant pas toujours aussi bien : parfois la coquille se casse et donne de l’omelette. L’auteur cite en exemple les conséquences de mai 68, mouvement de libération contre le carquant social étouffant de l’époque. Ceci donna toute une génération d’enfants roi, ou enfants tyrans, qui, privés de repères et d’un squelette sur lequel s’appuyer se réfugient plus tard dans les bras d’organisations sectaires.
    A l’inverse, les régimes totalitaires donnent un “œuf bétonné”. Tout évolution y est condamnée. Le germe des nouvelles idées ne peut donc pas féconder l’œuf. Et de toute façon, la chaleur nécessaire à l’incubation y manque cruellement.
    L’allégorie de l’œuf et du poussin met également en évidence l’alternance cruciale des cycles de création(de l’œuf) et destruction(de la coquille). La destruction est trop souvent décriée dans notre société moderne : on essaie de faire vivre à tout prix des malades condamnés, on conserve avec acharnement certains vieux bâtiments sans intérêt. Pourtant, cette incapacité à briser la vieille coquille ne peut s’opposer à la marche du changement. Si celui-ci est freiné, il se produira alors brutalement, favorisant le passage d’un extrême à l’autre et nous condamnant à ne jamais trouver l’équilibre nécessaire à toute chose.

    7. La vipère de Quinton : milieu extérieur et force intérieure
    Le biologiste René Quinton (1866-1925) est à l’origine d’une théorie de l’évolution peu connue comparée à celle de Darwin mais tout aussi passionnante. Lors d’une balade en forêt, par une journée d’automne, il tomba sur une vipère engourdie par le froid, qui aurait dû logiquement commencer à hiberner en cette période de l’année. Il la ramena alors chez lui et la réchauffa non loin de sa cheminée. Elle eu tôt fait de retrouver toute sa vitalité et de présenter même des signes d’agressivité. Quinton remarqua donc que la vipère fonctionne de manière optimale dans un environnement chaud et faiblit lorsque ces conditions se dégradent, au froid.
    Or il se trouve que les premières formes de vie seraient apparues dans un environnement beaucoup plus chaud qu’à l’heure actuelle, dans lequel elles vivaient en osmose. Lorsque leur environnement commença à se dégrader, certains de ces organismes se seraient adaptés grâce à des sauts évolutifs leur permettant de conserver les conditions optimales dans leur milieu intérieur (les animaux à sang chaud), tandis que d’autres ont été contraints de subir la dégration de leur milieu extérieur (tel les animaux à sang froid). La chaleur n’est qu’un exemple des propriétés à conserver dans le milieu intérieur puisqu’il peut y avoir aussi la salinité, l’acidité, l’humidité, la pression… et même la lumière (dans le cas des organismes des profondeurs des océans).
    Comme à l’apparition ou à la naissance des êtres vivants, nous absorbons la plus grande part de nos valeurs, de nos croyances et de notre façon de voir la vie pendant l’enfance. Pour le vérifier, il suffit d’imaginer le même enfant grandir dans un milieu radicalement différent, un autre pays par exemple. Au delà de son éducation, ne serait-ce que par imitation, de nombreux traits de son comportement seront typiques de la région où il baigne.
    Plus tard, lorsqu’il commencera à s’émanciper et que son milieu de vie changera, il se rendra compte que certaines de ses caractéristiques persistent (celles qu’il aura complètement intériorisées) tandis que d’autres restent influençables. Les sauts évolutifs accomplis pour conserver une caractéristique donnée dépendront largement de son niveau de conscience. Le réflexe sera aisé lors d’une rupture brutale d’un des principes chers à l’individu. Mais ce sera beaucoup plus difficile de résister à une détérioration fantomatique, dure à détecter.
    C’est ici que l’auteur renoue le lien avec l’allégorie de la grenouille. Il faut savoir être conscient d’un environnement qui se dégrade pour pouvoir s’y opposer et garder son intégrité intérieure. C’est une capacité qui heureusement tends à se répandre, d’après le livre L’émergence des créatifs culturels de Paul H. Ray et Sherry Ruth Anderson. Ils seraient déjà 44 millions d’adultes aux Etats-Unis nous apprends-on. Ces individus capables de faire un choix personnel contraire aux valeurs dominantes seraient capables de contrebalancer l’entropie (la dégradation) de notre environnement socio-culturel. Par leur effort séparé, ils recréent de nouvelles cultures capables de réguler à leur tour notre milieu, un peu comme les écosystèmes marins qui absorbent la pollution à laquelle on les soumet.
    Mieux : tous ces individus devenus responsables et sachant améliorer leur milieu au delà de leur intérêt personnel pourraient bien un jour, par leur efforts invisibles à l’heure actuelle mais bien en marche, aboutir à une transformation extérieure aussi prodigieuse que celle du bambou chinois!
    Sur ce, je vous laisse méditer sur les éclairages prodigués par toutes les métaphores de ce fabuleux livre et vous invite à réagir dans les commentaires…
    Olivier Clerc, écrivain et philosophe

  2. L’ analyse tient la route, mais elle a zappé un paramètre: l’islam …
    Je pense que nos dirigeants, qui veulent nous remplacer, ont sous-estimé le pouvoir de nuisance de l’islam ..
    Et ça risque de leur péter à la gueule ..
    Et je pense en plus que les islamo-gauchos seront les premières victimes ..

  3. Analyse plaisante, le coeur du problème est effectivement la crétinisation de la société française qui autorise ce à quoi nous assistons.
    Toutefois, nos élites malgré leur culture, puisque elles aussi ont sombré dans la dépravation, le consummérisme et le bling bling, ne sont qu’un des aspects de la crétinisation du pays, elles ne pilotent rien, elles ouvrent la voie au troupeau.
    On est plutôt dans un scénario où le poisson pourrit par la tête, et transmet à tous le corps sa putréfaction.

  4. Aldous Huxley était un visionnaire et aussi un scientifique un des premier qui a expérimenté les hallucinogène les champignons lsd etc….un livre à étais écrit sur ses expériences “les chemins de la perception” !!!!

  5. Ehn bien je n’avais jamais lu une ligne de Huxley, mais il a dû exister transmission de pensée avec moi quand il a écrit ça : lisez mes ” prévisions pour 2022 si Macron reste jusque là” dans 2023 (1), , c’est quasiment du copié collé ! j’en suis éberlué !

    Tout ce que je ne cesse d’écrire, en me faisant insulter chaque fois par des posteurs qui semblent pratiquer la politique de l’autruche, est écrit là, par Huxley, reproduit par la direction de RL !

    Si vous croyez que j’ai écrit tout ça par sadisme, par plaisir ou par mégalomanie, quelle erreur ! personne ne peut imaginer à quel point cet avenir de tristesse et de régression mentale me cause de chagrin et de rage. Mais comme je vois ce que je vois, je ne peux prédire ce que je ne vois pas et qui ne résulte pas de la simple déduction de ce qu’on voit depuis tant de temps.
    Si je devais situer le moment où tout est devenu irréversible, je dirais : le quinquennat de Jospin.

    Quand on fait un bilan serré de sa législature, tous les ingrédients que recommande Huxley, dans son texte prophétique au sens noble du mot, sont dedans.

    Nous avions encore, à son arrivée, des institutions de liberté morale et intellectuelle. Dans l’Education-Instuction par exemple, les piliers qui en ont fait naguère le succès et la grandeur étaient toujours là (rappel : on dit que ce sont les hussards noirs qui ont permis de gagner 14-18 et rien n’est plus vrai, perso je les connais, les hussards noirs, j’ai eu les derniers comme instituteurs de mes 7 ans à mes 13-14 ans).
    Eh bien ces derniers remparts contre le marxisme, Jospin les a tous fait tomber de façon systématique, scientifique, à petit bruit. Plus les atteintes étaient graves et moins il en faisait bruit.

    Par exemple : la politique familiale, mise à mal par Mitterrand, n’était cependant pas détruite. Son socle n’était pas les allocations comme le croient faussement tant de gens qui ne s’informent pas au fond. Son socle était le quotient familial, gagné de haute lutte par la fraction de gauche du CNR alliée à la fraction de gauche des chrétiens CFTC du CNR en 1946-47 (la CFTC d’alors, respectable et authentiquement patriote, était incontournable pour obtenir des majorités à l’assemblée nationale).

    C’est Jospin, avec l’aide hélas intelligente de l’affreux DSK, qui a porté le coup de grâce à cette politique familiale. Il a divisé par deux, rien que ça, les plafonds d’avantage fiscal entraîné par la présence d’enfants dans une famille. Ce fut un coup de matraque fatal pour les familles françaises : des familles de petits cadres avec trois enfants qui jusque là, étaient épargnées par la terrible progressivité de l’IRPP, se sont subitement retrouvées avec deux mois de revenus partis en fumée dans ce maudit IIRPP. Ces familles ont dû abandonner l’essentiel de leur aide familiale et augmenter le travail de la mère de famille. Une matinale de France Inter avait été consacrée à la détresse de ces familles. L’animateur n’avait pas pu filtrer les protestations tellement il y en avait. Jospin soi-même durant quelques instants y avait répondu aux auditeurs. Un père de famille de cette catégorie sociale avait demandé si en tant que père de famille, il était ” accusé duc élit de sale gueule”, l’animateur n’a eu que le temps de lui couper la parole sans avoir pu empêcher ces six mots de passer….

    Ce n’est pas la loi Veil qui a détruit notre natalité, c’est la suppression du QF, qui est maintenant effective à 90 % (Hollande l’a achevée totalement d’une façon vicieuse bien dans sa manière).

    Dans le domaine de linstructioin publique, Jospin a été tout aussi nocif.

    La vénérable institution des Inspecteurs généraux de l’instruction publique (IGIP) a éré émasculée 100 % par lui.C’était le dernier rempart de liberté intellectuelle dans le pays.

    Telle que voulue par Jules Ferry et ses successeurs, l’IGIP était composée de fonctionnaires INAMOVIBLES (donc LIBRES). Ils n’étaient porteurs d’aucune autorité émanant de l’Etat. Leur rôle était CONSULTATIF, ce qui signifie qu’ils donnaient LIBREMENT au ministre chargé de l’instruction publique leur avis PERSONNEL sur les programmes et les orientations souhaitables. Le ministre pouvait accepter ou refuser les PROPOSITIONS données au ministre par les inspecteurs. Notamment pour les nominations de professeurs et la composition des programmes.

    Les inspecteurs généraux n’avaient qu’un seul devoir : rester NEUTRES, ce qui se traduisait par la règle d’or ”pas une seule querelle politique que ce soit n’est acceptée dans les établissements scolaires et universitaires”. Bien entendu, 99,5 % des propositions des inspecteurs étaient acceptés par le ministère : rien que l’établissement, chaque année, du ”mouvement” (= nominations des professeurs pour la rentrée d’automne) était un travail colossal, auquel la plupart de ces inspecteurs sacrifiaient 95 % de leurs vacances, travail qu’aucun ministre n’aurait eu les moyens d’accomplir.

    Je peux ici affirmer que la plupart des inspecteurs généraux dans le domaine des sciences exactes étaient des ”pointures” dans leur matière, et que la gauche militante était tout le contraire de leur truc (leur expérience professionnelle leur montrait assez les racages de ces doctrines pourries). Certes ils avaient une foi inébranlable en la république mais ce n’était pas une mauvaise foi, elle était patriote, amoureuse du travail bien fait. En réalité, la seule religion de ces inspecteurs était celle du travail ben fait, de l’excellence en tout, de l’élitisme républicain, ascenseur social.”

    Tout ça a été détruit machiavéliquement par Jospin. Il a donné en contrepartie quelques avantages sectoriels dans les rémunérations des uns et des autres, mais il a refait de fond en comble le statut de l’inspection générale, et seuls les inspecteurs généraux de sciences exactes et de lettres classiques ont regimbé, mais la masse de l’inspection générale ne comprenait pas que cela, par exemple il existe une inspection générale de la police etc des armées et ceux-là, leur souci n’était pas la liberté de pensée. On n’a donc rien pu faire contre ce désastre; Le nouveau statut est passé…..désormais, les inspecteurs généraux étaient devenus des FONCTIONNAIRES D’AUTORITE CHARGES D’APPLIQUER LA POLITIQUE DEFINIE PAR LE MINISTRE ; pire, des dispositions étaient prises pour vérifier que les circulaires du insister étaient appliquées le petit doigt su la couture du pantalon. Dans la folie, l’inamovibilité, exit !. Le liberté intellectuelle de l’université et de l’Ecole, ainsi que sa neutralité politique, sont mortes le jour de la promulgation de ce nouveau statut.

    Le résultat ne s’st pas fait attendre : l’inspection générale a ipso facto cessé d’attirer les meilleurs des professeurs, qui ont préféré leurs travaux. Cette inspection voulue par Jospin est, comme notre assemblés nationale, devenue la chambre d’enregistrant des directives concoctées par un aréopage politisé autour du ministre. Par exemple, tous les oukases scandaleux de la Belkacem n’ont été possibles que par ce nouveau statut qui a fait des inspecteurs de dociles serviteurs à gilet rayé, au service des politicards…de gauche bien sûr !

    Mes insulteurs vont vous faire croire qu’ils savaient tout ça et m’en remettre une louche dans leur attaques personnelles de bas étage, qui plaisent tant aux ignorants. Mais ceux qui savent tout cela depuis longtemps, il y en a beaucoup, ont été aussi catastrophés que moi de cette évolution et n’ont pu rien faire, là on voit par quels mécanismes inéluctables, inexorables, on a détruit toute une société, c’est terrible. Je n’ai rien inventé, je n’ai fait que décrire deux aspects particuliers de ces mécanismes, si bien vus par Huxley, par lesquelles on a démoli la France que de Gaulle avait si passionnément voulu relever : de Gaulle et ses successeurs immédiats n’ont jamais touché à ces piliers de nos institutions

    • Aldous Huxley et George Orwell, respectivement : “Le Meilleurs des Monde” (lu quand j’avais 16 ans!) et “1984” (lu un peu plus tard). Deux “classiques” indispensables dans la bibliothèque de tout “Patriote”, ou simple “Honnête Homme” comme on disait jadis.

    • Pour info, Terminotaure n’ayant pas apprecié ma mise au point dans un commentaire précédent, il a déclaré quitter RL. Ce qui ne me fait pas pleurer, arrivant à saturation.. Dont acte!

      • Perso je n’ai rien contre terminotaure , comme l’a dit Merlin , même si parfois on apprécie pas ce qu’il dit ses interventions sont intéressantes parce que bourrées d’informations qu’on connait pas forcément , ça apprend toujours quelque chose .
        Il a pas la Foi , il croit ni au bon Dieu sans doute , ni au diable , tout ça c’est des conneries pour lui , c’est pas grave .
        On est entre patriotes ici , même si on pense pas tous pareil , on a tous l’amour de la France et peur pour elle …
        Perso ce qui me gêne le plus , c’est les bicots et les bamboulas ,et les gauchiasses qui viennent sur ce site , ils ont déjà 100 % de l’espace public , des meRdia , de l’ éducation ” nationale ” , ils ont vraiment pas besoin de venir nous faire ch …. ici .
        Cela dit ça risque de se retourner contre eux , parce que le gogoll de l’Ardèche doit s’en mordre les doigts maintenant ….
        Pourquoi venir vous titiller aussi alors que vous demandez rien à personne et que vous essayez juste de montrera aux gens qu’ils sont pas tout seul dans leur coin à faire les mêmes constats et à comprendre très bien ce qui se passe ?
        La méchanceté gratuite , ça paie pas , y en aura au moins un à Aubenas qui va finir par le comprendre …
        Oremus !
        Quant à la france de 2023 , je préfère pas y penser ….
        J’espère que j’aurai réussi à m’exiler ….
        Une petite fille “gazée” à la manif pour tous aurait dit à ses parents ” il faut quitter la France ! ”
        Sa mère aurait répondu “mais enfin ma fille , on abandonne pas son pays comme ça ! ”
        Et la gosse de répondre ” mais maman pas du tout , c’est pas nous qui abandonnons la France , c’est la France qui nous abandonne ! ” …..

        Sans commentaire ….
        Aux chiottes les traitres , vive SM Louis XX duc d’Anjou !
        (J’espère que ça s’arrange pour Lydia et son mari …)

        • Le gros problème de TERMINOTAURE est son ego. Il est homme, certainement gentil et très cultivé mais qui ne mesure pas toujours ni la teneur de ses propos ni leurs hauteurs et qui ne souffre pas la contradiction même si étayée d’arguments honnêtes car n’acceptant que ses vérités. Or personne ne détient de vérité absolue! Pas plus lui que vous, que moi, que quiconque sur cette planète bien malade par nous!
          Sincèrement, je regrette son départ pour bien des connaissances qu’il nous apportait et pour son amour de la France.
          Il a quitté R.L avant que j’ai eu le temps de lui faire un mot via la messagerie; un mot dans lequel, en gros, je lui suggérais de se remettre en question afin de ne ne plus prendre les contradictions pour attaques personnelles…Mais je n’en ai pas eu le temps…Certes il déclencha la colère de plusieurs posteurs, dont la mienne et je lui fis savoir dans certains posts…Il n’a pas su comprendre et se croyant détesté, à tort, il a préféré partir.
          Pour ma part, il m’est arrivé de m’accrocher, sans conséquences, avec Réseau Libre, 2 autres fois avec des posteurs que j’apprécie réellement. Après explications, nous nous sommes toujours compris et le Respect ne nous a jamais quitté! Ce que n’a pas su faire notre ami qui ne savait pas s’arrêter…
          Ce long message pour rendre hommage à Réseau Libre, à tous ses posteurs et aussi à Terminotaure!
          Nous sommes là pour échanger, pour avancer et pour combattre côte à côte, quelque soit la distance qui nous sépare les uns des autres! Il y a face de bouc pour ceux qui aiment l’odeur de la merde! Sur Réseau Libre ne peuvent flotter que les senteurs de la liberté et de la poudre, portées par notre Marianne blonde et Blanche!
          Nous ne sommes pas ici pour nous entrte-déchirer, l’ennemi n’est pas sur R.L, même si les infiltrés existent…Ceux-ci, tôt ou tard auront affaiire à RL et …
          Bonne journée à tous et que Dieu vous garde!

          • @Merlin : la vérité reste cachée. Dans les tempes anciens, on disait que c’était une jolie femme sortant nue d’un puits. Elle ne peut plus apparaître ainsi dans sa pureté sans risquer le viol par les sectateurs de la “religion d’amour et de paix”.

            • Tartampion; seriez-vous une femme? Auquel cas, j’accepte vos bisous!
              Si vous êtes un homme, aimant l’humour, et si écrit par humour, alors je vous mets un pouce…Dans l’oeil!

              • Ah vous savez on apprend aux hommes d’aujourd’hui à laisser s’exprimer la part féminine qu’il y a en chacun de nous …
                J’ai sans doute dû bien retenir la leçon des meRdia ou c’est que je fais mon coming out alors !??

  6. Pas de guerre contre la Russie. Elle n’est pas l’ennemie. Aldous Huxley décrit déjà en 1939 comment s’y prendre pour étouffer une révolte. Cette équation est transposable aujourd’hui. L’abrutissement des masses bat son plein. RL ne cesse d’alerter la “masse” sur l’imminence d’un scénario catastrophe. Que faire face à cela ?!!! . Faisons le point des forces en présence . D’un côté Facebook avec , “je vais leur casser la gueule, ils ne me connaissent pas . Bien , pourquoi pas , çà défoule mais ne résout rien. Bref, ça pédale dans la semoule. le FN avec ses 11 millions d’électeurs avec un certain nombre de voix de LR, les LR et autres “divers.” Il faut y ajouter Des “mouvements de résistants ” et des mouvements épars un peu partout en France et à l’étranger. Certains poussent des cris d’offraie face à ces actions disparates. Que d’atermoiements depuis les attentats. Personnellement cela me parait normal. Que cela se fasse dans le désordre, c’est logique. Face au danger, il devient nécessaire de se regrouper. Le ou les chefs existent , ils sont politiques et il y en aura toujours, aucune crainte à avoir de ce côté là. Le(s) chef(s) militaire(s) existent lui( eux) aussi mais il'(s) ne peut(vent) que se déclarer s’il'(s) se sent(ent) épaulé(s) par une armée de soldats. Ce n’est pas encore le cas. Alors en attendant , la France peut être découpée en 7 régions “Militaires de défense” dirigée par un Commandant. Un conseil de 3 à 7 Généraux pour coiffer l’ensemble et constituer cette armée de “l’ombre” forte de 250 000 hommes ( soit 35 000 homes par région )qui viendrait en appui des forces conventionnelles qui nous le savons n’est pas assez conséquente me semble être un début de solution pour redonner confiance à ce Pays. Celui qui va doucement va loin. Personnellement , je souhaiterais transmettre à nos générations futures débarrassées des scories un “outil” qui puisse les rassembler en cas de conflit majeur. C’est donc, à mon sens, aux 40/60 ans d’en constituer la colonne vertébrale.