Bien sur que ce sera une arnaque et le poudré et la clique s’assiéront dessus comme pour le dernier….Je n’ai AUCUNE CONFIANCE dans ces politiques de toute façon, tous menteurs
La vraie question pour le gouvernement c’est “Comment entuber profond ces couillons de Français avec leur consentement” En plus que ce soit cette saloperie de veran qui en parle fait immédiatement penser à son: “Tous vaccinés tous protégés” S’ils font un référendum ce sera un sac rempli de questions plus débiles les unes que les autres, et au milieu il y aura la question sur l’immigration à laquelle personne ne comprendra rien Il faut se rappeler le texte de la loi du 3 Janvier 1973 dite loi giscard à l’origine de notre endettement Noyée au milieu des textes de la loi de finance il y avait cette phrase : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. » Peu de députés ont compris le sens de cette phrase qui pourtant obligeait l’état à emprunter sur les marchés financiers
Bien sur que ce sera une arnaque et le poudré et la clique s’assiéront dessus comme pour le dernier….Je n’ai AUCUNE CONFIANCE dans ces politiques de toute façon, tous menteurs
Tout ce qui sort de la bouche du Véreux bonimenteur ne peut- être qu’une arnaque .
La vraie question pour le gouvernement c’est “Comment entuber profond ces couillons de Français avec leur consentement”
En plus que ce soit cette saloperie de veran qui en parle fait immédiatement penser à son:
“Tous vaccinés tous protégés”
S’ils font un référendum ce sera un sac rempli de questions plus débiles les unes que les autres, et au milieu il y aura la question sur l’immigration à laquelle personne ne comprendra rien
Il faut se rappeler le texte de la loi du 3 Janvier 1973 dite loi giscard à l’origine de notre endettement
Noyée au milieu des textes de la loi de finance il y avait cette phrase :
« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »
Peu de députés ont compris le sens de cette phrase qui pourtant obligeait l’état à emprunter sur les marchés financiers